La traversée

Nous traversons l'ile, presque tout est recouvert de marécages, j'entends un loup beugler au clair de lune. Cette fois c'est la nuit pensais-je. C'est assez angoissant, j'ai l'impression que pleins de choses m'épient, des sons étranges proviennent des marrée.

Enfin nous arrivons sur un sentier, je suis presque soulagé. Soudain j'aperçois, au extrémités du chemin des hommes se ruer sur nous. Je tente de les identifier, ils sont pales, les vaisseaux sanguins sont explosé au niveau de leurs yeux et ils ont une grosse marque au niveau du coup

-Ils sont là, je vous avais prévenus, on va tous mourir !!!

Des morts vivants m'écris-je intérieurement, ce paysan n'avait pas menti !

-Mais il sont tous équipés pour se battre c'est pas vrais ! Comment ça se fais ? Je pose cette questions avec panique au paysan

-Ils faisaient partis d'une armée, dit il en prenant un couteau dans son sac, une fois la Rénasie s'est fais envahir et nous étions proches de succomber, nous avons perdu une bataille essentiel pour notre ile et sous la rage le commandeur a pendu tout ses guerriers restants et on les a enterrés avec leurs équipements et depuis plus aucune loi ne règne ici.

-Comment s'est fini cette guerre ?

-Le chef ennemis, s'est fais bouffé par les goules, ils ont du battre en retraite.


les morts vivants s'approchaient dangereusement, je me suis préparé pour me battre et j'attends pour porter le premier coup

-tiens toi prêt, dis-je à Talier

J'entends le combat, la guerre, combien de guerre ai-je connu ? Une dizaine ? Une vingtaine ? Je ne sais plus... Mais qui se bats ? Et pourquoi ? Je ne le sais pas... Je suis trop faible pour ouvrir les yeux, mais je suis sur que l'on ne se bats pas pour moi... Je suis un monstre, un être sans ame et sans coeur qui tuerais ses amis, je ne merite pas de vivre... est-ce moi qui me bats ? Je ne sais pas, mais je ne crois pas, la température a changé... Il fais froid... Suis-je mort ? Est-ce que le début de ma seconde vie commence ? Je ne sais pas...

Une énergie mystique me souleve, j'arrive a me lever, j'avance a l'aveugle, je sens les arbres, je sens la fôret, elle m'apelle, encore et toujours, pourquoi ? J'avance toujours, et je sens des os... glacial. Serais-je tombé en enfer ? Probable... J'avance toujours, personne ne m'apelle, je ne compte donc pour personne, meme pas pour les morts ! J'avance encore et toujours...

Je vois Christo flotter dans les air pour s'enfoncer dans la foret " et merde ! qu'est ce qu'il nous fais encore " je tranche en deux le premier zombi qui saute vers moi puis je me rue vers Christo

-Essaye de tenir, dis-je à Talier

Je prend Christo et je tente de le mettre à terre

Mon corps en lévitation évite sans difficulté le jeune guerrier, et mon corps flottant et saignant s'enfonce dans la fôret...
Les arbres me parlent, c'est la même sensation que dans mon rêve, il me demande de ne pas leur faire de mal ! Mais jamais je ne ferais de mal a la nature, les arbres murmurent, ils veulent me voir morts, mais d'autre veulent que je vive, un brise se lève, les arbres s'enervent ! Encore à cause de moi ! Je ne suis que source de colere ! Mon corps est maintenant hors de portée de mes jeunes compagnons...

* Christo quitte la zone *

" Raaaaah le chieur " décidément Christo me rend grossier. Tant-pis pour Talier je dois retrouver Christo, je ne peux pas laisser son démon l'envahir devenir surpuissant et ensuite dominer le monde, c'est jamais vraiment gentil les démons...

Je cour après l'elfe pour tenter de le rattraper, c'est pas facile la foret est sombre et toutes ces broussailles me ralentissent sérieusement. Pourquoi flotte il comme ça ? où va-t- il, je ne sais pas pourquoi mais la foret semble essayer de me piéger de m'engloutir. J'avance mais il me semble avoir perdu sa trace, JE NE LE VOIS PLUS !!!! En plus maintenant je me suis perdu, j'approche d'une clairière, je rentre dedans et je m'assois dans l'herbe....


" Et meeeerde.... "

hééééé!!Attend moi! me laisse pas là tout seul!

Après avoir tant essayer de le faire venir je décide de combattre tout seul avec ce paysan,mais je commence a me demander si ce n'est pas trop pour moi,je suis ne suis pas invincible mais pour ma vie et la vie de ce pauvre paysan je doit les éliminé un par un,mais je me demande où il a bien pu passer l'autre

Raaaaah que faire ?

Je regarde le clair de lune qui illumine la clairière, elle est pleine

" Pourvu qu'il n'y ait pas de... " J'entend un grognement. " Ho non... " je me retourne, il fallait évidement que des balverines m'agressent. Je dégaine ma reaper, celle ci semble vibrer sous l'excitation du combat mais pas moi, je blêmit, ce ne sera pas facile.

La première me fonce dessus, c'est moi qui lui assène le premier coups , son bras décolle de son corps et viens s'écraser dans l'herbe. Hurlant de douleur et intimidé, elle bat en retraite. Les deux autres me sautent dessus, je donne un grand coups dans la gorge d'une qui s'étale par terre en agonisant et tentant de stopper la fontaine écarlate qui jaillie de sa trachée. L'autre me donne un grand coup de griffe dans la joue, sous la rage et la douleur je luis coupe la tête et je fonce vers l'autre rescapé pour lui perforer l'abdomen.

J'ai eu de la chance, je m'en suis sortit presque indemne.

Je sors de la clairière pour continuer le chemin aléatoirement tout en mettant des feuilles sur ma joue pour stopper l'hémorragie.

" J'ai faim... " je sors un sandwiche au poulet de ma sacoche. Tout en le déballant je continue ma traversée dans la sombre foret.
Dès que je tente de mordre dedans je sens un main l'empoigner, me l'arracher des mains et s'enfuir avec.

-Non mais quand même y'a une limite là !

Sous la rage je fonce vers le voleur qui à l'air d'être une goule, si elle préférait mon sandwiche à moi, c'est surement car elle ne tenait pas à se faire tailler en pièce. Je sors ma Reaper et je lamine toute la végétation qui me ralentit jusqu'au moment où j'ai l'impression de sortir de la foret. Je tombe dans une genre de ville, déserte abandonné.

Après les goules les balverines,et les deux autres qui sont partis je le crois pas,j'empoigne mon épée et je la lance en boomerang en tranchant les ennemis qui me barrait la route pour rejoindre Alucard, tant pis pour le paysan je ne peut pas tout régler

Me voila donc dans cette fameuse clairière ou les monstres on refusé de me suivre,mais, ah enfin je vois les autres guerriers, tiens il y un autre humain là bas,pas grave, je dois les rejoindre et vite.